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Quid du cycle économique et monétaire?

31 /05/2015

La pente de la reprise économique globale reste faible en zone € et ailleurs,  le monde n’ a  pas fini de subir les freins à la croissance issus de 2008 et des crises antérieures qui se sont succédées.

La pratique débridée d'une création monétaire à grande échelle a engendré malgré elle une guerre des changes tournante, dont la zone euro est en 2015 le protagoniste et le bénéficiaire principal, y compris devant  le Japon.

Cependant  la croissance globale reste faible, car chaque pays, chaque zone monétaire ponctionne successivement sur l’économie de ses voisins les sources de sa propre croissance.

 

Le soutien monétaire a  été une raison majeure du parcours spectaculaire des marchés financiers depuis trois ans. Une supression de ces injections monétaires des banques centrales entrainerait des turbulences fortes pour les marchés financiers mais serait aussi un frein majeur pour la croissance.

Les marchés qui ont le plus bénéficié de cette abondance de liquidité sont les plus vulnérables ....L'inflation devrait rester basse mais le loyer de l'argent devrait croitre assez rapidement....

Bref  l’interventionnisme monétaire a atteint ses limites et le  retour au réel pourrait etre fatidique pour certaines classes d'actifs économiques et  pour les pays surrendettés !

 

 

 

Un rendement sans risque est une utopie financière

8/04/2015

BILAN INVESTISSEUR 2014

4/01/2015

Pour gagner en 2014, il valait mieux prendre des risques en début d'année. L'exercice qui se termine a en effet été marqué par deux tendances. D'abord une nouvelle progression de la majeure partie des actifs financiers dans le sillage de Wall Street et des obligations d'Etat. Ensuite, l'essentiel de la performance a été réalisé au premier semestre… à l'exception des marchés actions américains et des emprunts d'Etat de la zone euro....

Le malaise des chefs de petites entreprises en France

1 décembre 2014

 Sur 3.500.000 entreprises, 3.200.000 sont des TPE de -10 salariés la majorité sont des SARL dont le gérant est majoritaire.

Depuis 2013 le gérant majoritaire de SARL subit la disparition de l’abattement social de 10 %,  la hausse et le déplafonnement des cotisations maladie, l'explosion des cotisations retraite, la contraction du barème des indemnités kilométriques, l'assujettissement des dividendes aux charges sociales, la  loi sur  la pénibilité, la loi Hamon sur la cession des entreprises, et le temps partiel à 24 heures minimum etc.

Le dirigeant est victime de 40 ans de lâcheté budgétaire il  sait maintenant avec quel mépris il est considéré, tant par le législateur que les groupes de pression censés le protéger. L’invraisemblable feuilleton de l’assujettissement des dividendes aux charges sociales est la preuve du mépris du législateur vis-à-vis des TPE. Avec un taux d'IS plus élevé  l'inégalité de traitement avec  les grandes entreprises est flagrante. Le législateur oublie cependant  que les petites entreprises ont un potentiel de création d'emploi supérieur aux grandes à condition d'alléger les contraintes qui pèsent sur  leurs dirigeants .

Choc de simplification: Cession transmision de l'entreprise

20 octobre 2014

La loi n°2014-856 du 31 juillet 2014 relative à l’économie sociale et solidaire (loi ESS) crée, dans les entreprises de moins de 250 salariés, une obligation d’information des salariés en cas de cession de fonds de commerce, de la majorité des parts d’une SARL ou des actions d’une société par actions donnant accès à la majorité. Le non-respect de cette obligation est lourdement sanctionné.

Obligation d'information des salariés tous les 3 ans sur les possibilités de reprise d'une société par les salariés: décret à venir.

A partir du 1er novembre2014

Information sur le projet de cession par tout moyen :

2 mois avant la cession pour les entreprises de moins de 50 salariés.

cette information ne sera pas obligatoire en cas de succession, de liquidation du régime matrimonial ou de cession de la participation à un conjoint, un ascendant ou descendant.

Idem en cas de procédure en cours de conciliation, de sauvegarde, de

Redressement ou de Liquidation judiciaire.

Quand les assureurs protègent mieux que les institutions de prévoyance!

02/09/2014

Source site Courtage network- Actualité

La DREES a publié en août 2014 une intéressante étude appelée "les contrats les plus souscrits auprès des organismes complémentaires santé en 2009". Avec un peu de retard, elle compare notamment les garanties offertes selon le statut juridique de l'assureur. Ce travail minutieux, qui repose sur les déclarations des assureurs, est extrêmement utile pour éclairer le lecteur sur les différences de garanties entre prestataires. Il permet notamment de remettre en cause l'idée reçue dans l'opinion publique selon laquelle les institutions de prévoyance apporteraient des garanties plus avantageuses que les compagnies d'assurance.

A titre d'exemple, on lira, page 38, la comparaison entre les remboursements en optique simple. En moyenne, les organismes remboursent, pour les montures et les verres simples, 170 euros en contrat collectif. Mais ce montant (toujours en collective) pour les institutions de prévoyance est de 161 euros, alors qu'il est de 181,5 euros pour les compagnies (et de 175,5 euros pour les mutuelles).

Autre exemple, page 40: les prothèses dentaires. La moyenne des remboursements pour les contrats collectifs de l'ensemble des organismes est de 327 euros. Ce montant s'élèvent à 390 euros pour les compagnies, et à seulement 307 euros pour les institutions de prévoyance (315 euros pour les mutuelles).

Ces quelques éléments ne tiennent évidemment pas compte du prix du contrat. Toutefois, ils montrent bien l'utilité sociale que remplissent les assureurs, et ils contreviennent à l'idée répandue selon laquelle les assureurs contribueraient moins à l'accès aux soins que les autres acteurs du marché.

Dans la mise en avant des vertus d'un contrat collectif, il est en tout cas évident que les assureurs ont tout intérêt à faire valoir ces arguments, dans la mesure où ils démontrent la "compétitivité" du recours à l'assureur plutôt qu'à d'autres acteurs.

Investir dans les entreprises c'est investir dans l'économie réelle

JUIL 2014

Comment investir dans les entreprises non cotées?

Il y a bien la startup de votre cousin, de votre beau frère ou de l'ami de l'ami..

Investir dans celle ci a du sens d'un point de vue familial ou amical et il faut être suffisament convaincu par le business model pour y investir ses économies.

 

L'intérêt pour vous investisseur est de diversifier votre risque et de bien identifier vos attentes:

  • recherche d'un rendement

  • recherche d'un avantage fiscal

  • recherche de diversification patrimoniale

  • autre

 

Aujourd'hui il est possible de placer son argent dans les entreprises de diverses façons, en entrant au capital:

-en direct

-en direct dans un panier composé de plusieurs entreprises

-via des fonds d'investissement (FIP, FCPI,FCPR etc)

ou

en prêtant des liquidités pour financer un investissement

soit en direct à votre beau-frère, soit sous forme collective à des entreprises sélectionnées pour leur projet et leur pérennité par des spécialistes. Cette dernière solution est strictement encadrée par les autorités telles que l’ACPR.

Dans les deux cas nous pouvons vous aider à définir la solution qui vous correspondrait le mieux.

ECONOMIE

MAI 2014

43% des entreprises françaises cotées sont détenues par des étrangers. Les actionnaires non-résidents détenaient seulement 23% de ces sociétés en 1995. A l'inverse, les investisseurs particuliers, dont la part était de 25% en 1995, ne représentent aujourd'hui que 10%.

MARCHES FINANCIERS

JUIN , 2014

+0,5% C’est la hausse des prix en mai dans la zone euro, au plus bas depuis novembre 2009. La menace de déflation plane de plus en plus sérieusement et va obliger la BCE à réagir, dès sa réunion de jeudi

COMPLEMENTAIRE SANTE COLLECTIVE

JUIN, 2014

 

A compter de ce dimanche 1er juin, les salariés qui perdent leur emploi pourront conserver la complémentaire santé collective de leur ex-entreprise jusqu'à un an après la fin de leur contrat de travail. Mieux, cette "portabilité des garanties santé" deviendra entièrement gratuite. Ce dispositif, mis en place un an après le début de la crise financière de 2008 dans un contexte de forte progression du chômage, se trouve aussi considérablement élargi. Jusqu'à présent, il ne s'appliquait en effet que dans certaines entreprises du secteur privé et était plus limité dans le temps. 

Dans quelles entreprises ?


 

Please reload

Dans un contexte de taux d’intérêt bas, la recherche de rendement constitue la préoccupation première des épargnants et des professionnels.

Les marchés boursiers européens ont repris des couleurs en 2014, et surtout depuis le début 2015 avec l'annonce du Quantitative easing de la Banque centrale européenne.

Paradoxalement, les investisseurs français qui détiennent à priori à peine 10% du capital des sociétés françaises sont absents de cet engouement général préférant pour la plupart la sécurité toute relative de leur livret A ou de fonds en euro de contrats d'assurance vie.

Echaudés par les soubresauts de la bourse ces 25 dernières années certains associent les marchés actions à la roulette russe. D'autres préfèrent croire à un mensonge institué depuis les 30 glorieuses aux placements dits" sans risques"!

Force est de rappeller qu'un rendement sans risque aussi faible soit il est une utopie financière.  Les peuples anglo-saxons en sont convaincus depuis longtemps et investissent dans les entreprises cotées européennes au travers des marchés financiers. L'explication tient elle à leur système éducatif, ou à une implication plus forte dans la sphère macro-économique environnante?

Peut-être faut il aussi pointer du doigt la fiscalité confiscatrice du compte-titre en France et l'amagalme entretenu par certains journalistes qui associent  exclusivement l'assurance vie au fonds en euro!!! 

                                                                                                                 

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